Questions fréquentes

Lisez les réponses à certaines des questions les plus fréquemment posées sur Formtex®.

Questions fréquentes

Questions fréquentes au sujet de Formtex®

Q : Combien de fois puis-je utiliser Formtex® ?

Formtex® peut être utilisé deux fois avec une réduction optimale du rapport eau/ciment dans la zone externe, ce qui permet d’obtenir une structure en béton dense et résistante à la corrosion et de prolonger considérablement sa durée de vie. Formtex® peut être utilisé plusieurs fois pour limiter l’apparition de trous de soufflage dans la surface.

Q : Devrais-je attendre plus longtemps que la normale avant de retirer le coffrage lors d’une coulée contre du Formtex® ?

Il n’est pas nécessaire d’attendre plus longtemps que la normale avant de retirer le coffrage, mais cela améliorera les résultats. Formtex® absorbe et retient l’eau de sorte qu’il assure un bon durcissement lorsqu’il est en place.

Q : À quel type de surface en béton puis-je m’attendre lors de la coulée contre du Formtex® ?

La fonction de base de Formtex® est de drainer l’eau et l’air excédentaires de la surface du béton.

Le résultat

  • Une surface dense et uniforme avec peu ou pas de trous de soufflage
  • Un faible rapport eau/ciment donne une surface plus foncée avec une certaine variation de couleur.


Remarque

  • La pression hydrostatique varie en fonction de la hauteur, ce qui entraîne une différence de couleur. Le bas de la structure sera plus foncé que le haut.
Q : Puis-je utiliser n’importe quel mélange de béton lors du coulage contre du Formtex® ?

Oui, Formtex® évacuera l’eau de tout type de  béton. Les quantités drainées se rapportent au rapport eau/ciment du mélange de béton. Plus le rapport eau/ciment du béton est élevé, plus la quantité drainée est importante. Quel que soit le rapport eau/ciment du béton, le rapport eau/ciment à surface du béton fini sera plus faible lors de la coulée contre du Formtex®.

Q : Pourquoi drainer le béton pour abaisser le rapport eau/ciment ?

Lors de la spécification d’un rapport eau/ciment, il faut tenir compte de nombreux facteurs, dont la faisabilité. Avec un rapport eau/ciment plus faible, vous obtenez un béton plus robuste, plus dense et plus résistant à la pénétration. Il s’agit là de propriétés dont le béton a besoin dans la zone critique de la couverture de béton. Pour que le béton soit correctement placé et compacté, il faut plus d’eau que nécessaire pour hydrater le ciment. La seule façon d’assurer un rapport eau/ciment optimal dans le revêtement en béton avec du béton correctement compacté est de drainer l’eau du béton pendant le compactage.

Q : Comment puis-je vérifier que l’effet souhaité a été obtenu ?

L’eau drainée visible vient de quelque part ! Des essais en laboratoire ont démontré que l’eau est drainée des 20 à 30 premiers mm de la couverture en béton. A travers le revêtement en béton, le rapport eau/ciment augmente jusqu’au rapport eau/ciment d’origine du béton. La résistance accrue de la surface peut être mesurée avec un marteau Schmidt.

Q : À quoi ressemble l’eau drainée ? Y a-t-il des particules de ciment dans l’eau ?

L’eau drainée est limpide et jaunâtre selon l’utilisation d’adjuvants. Comme les pores du tissu sont plus petits que les particules de ciment, il n’y a pas de particules de ciment dans l’eau drainée.

Q : Puis-je utiliser Formtex® pour couler des structures verticales et horizontales ?

La pression hydrostatique force l’eau excédentaire à s’écouler à travers le filtre Formtex®. Formtex® drainera donc des quantités importantes d’eau lors de la coulée verticale, en pente et en bas des structures horizontales.

Vous n’avez pas trouvé la réponse à votre question ?

N’hésitez pas à soumettre votre question à notre expert en béton et il vous répondra dès que possible.

Mikael Møller
Business Manager
Fibertex Denmark
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Formtex®

Longue durée de vie des structures en béton avec Formtex®

Formtex® évacue le surplus d’eau et d’air, offrant une couche de couverture en béton plus dense sans trous de soufflage. Il en résulte une résistance accrue à la dégradation due à la pénétration de chlorure, d’eau, de dioxyde de carbone et de givre/dégel.

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